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4 – Italie de Florence à Rome
DU 4 AU 12 JUIN
4 juin, le temps de lever le camp et préparer Véga, nous ne quittons le terrain de camping que vers les 10 heures. Chemin agréable sans trop de goudron, en suivant la vallée de l’Arno. Arrivés au bourg de Candeli, il faut emprunter une route passagère aussi, après avoir consulté nos GPS, nous décidons de quitter notre trace et de suivre un autre itinéraire par la montagne, puis de retrouver la vallée de l’Arno au niveau de la ville de Rignano. Arrivés à l’heure de la pause de midi, nous sommes au village de Villamagna. Une habitante descend de voiture pour rentrer chez elle. Comme elle vient juste de nous doubler, elle nous demande « aqua » afin de nous en donner si besoin. Comme nous lui répondons en Français, elle nous parle en Français sans aucun accent. Une foi de plus, nous sommes tombé par hasard sur une expatriée !
Isabelle originaire de Nanterre et habitant précédemment Paris, est tombée sous le charme de la Toscane il y a 15 ans, y a rencontré Guiseppe. Nous faisons le plein d’eau et Isabelle et sa fille Cloé nous proposent de faire notre pause dans un endroit merveilleux (voir les photos). Merci à eux pour leur gentillesse !
Nous repartons vers les 15h30 et montons notre bivouac en vue de Rignano, en ayant cheminé sur les chemins de terre et ayant admiré de superbes paysages.
5 juin, les jours se suivent et ne se ressemblent pas : toute la matinée, nous marchons sur le goudron, sur une route assez fréquentée sans intérêt. L’après midi nous empruntons une piste cyclable en ligne droite, elle aussi sans intérêt. Il a fait extrêmement lourd, ce n’était agréable pour personne de marcher. Heureusement, en milieu d’après midi, un gros orage nous a rafraichi l’air. Bivouac près de Matassino, dans un champ, près d’une route, d’une voie de chemin de fer très fréquentée, et de l’autoroute A1 !
6 et 7 juin, rien de spécial, nous déambulons, toujours sous la chaleur, dans les montagnes Toscanes. L’habitat et la structure des agglomérations ont changés par rapport à la Lombardie et l’Emilia Romana que nous avons traversés précédemment : les habitations des fermes sont surmontées d’un semblant de tour et les bâtiments agricoles ne sont plus disposés autour d’une grande cour centrale. Les agglomérations ne sont plus ouvertes et disposées d’une place centrale mais sont entourées d’anciennes fortifications d’où surgissent souvent les restes d’anciens donjons. Les magasins de proximités sont aussi beaucoup plus rares et du reste, nous avons du mal à trouver une auberge le 7 au soir et devons nous rabattre sur un hôtel. Les prestations sont à la hauteur de la différence de prix ! Côté « aventures », nous avons dû rebrousser chemin à 2 reprises (plus de route) et, le 7 au matin, impossible d’enlever le piquet qui nous sert à attacher Véga la nuit. Il restait bloqué dans la terre. Il nous a fallu 2 heures pour creuser un trou autour avec les outils à notre disposition, massette, piquet de tente et morceaux de bois trouvés in situ, pour arriver à la dégager !
Notre Hotel
8 juin, quel bonheur de dormir dans un lit ! Nous dépassons Arezzo. Nous sommes à 240 kilomètres de Rome et avons franchis le cap des 1600 kilomètres. La forme est au rendez vous pour nous 3. Nous sentons bien que les corps ont perdus de la graisse et se sont musclés ! Nous terminons la journée en longeant le canal Chiana, très encaissé et avec une eau très boueuse.
Allée de Cyprès et pont Romain
9 juin, nous longeons toute la journée le canal Chiana qui sert à l’irrigation de la région. Nous croisons à 2 reprises d’immenses champs de panneaux solaires et suivons pendant plusieurs kilomètres des vergers de poiriers. Au bout du compte, c’est plusieurs 100aines d’hectares de poiriers qui sont exploités. Bivouac près du bourg de Foiano della Chiana ancienne place forte située sur un promontoire. J’ai pris contact avec Paola pour lui demander si elle pourrait nous trouver un centre équestre qui puisse nous accueillir Véga et nous à Rome. Je lui ai fait parvenir, à sa demande, l’adresse de l’hôtel ou Martine va aller en arrivant à Rome afin qu’elle cherche un centre près de ce lieu.
Vergers de poiriers et canal della Chiasa
La pause du midi et vue sur Foiano della Chiana
10 juin, nous longeons pour la troisième journée le canal de Chiana. Le canal de Chiana sert également à un chemin de randonnées cycliste ou pédestre qui va d’Arezzo à Chuisi sur plus de 65 kilomètres, le sentiero della bonifica. Journée torride. Véga a franchi un gué de plus de 6 mètres sans problème. Elle s’est même payé le luxe de s’arrêter au milieu pour renifler l’eau. Un peu plus, et elle se désaltérait avec l’eau du canal ! Bivouac près du lac de Montepulciano sur une aire aménagée. Paola est vraiment très efficace, j’ai reçu un message sur mon répondeur de Frederico, Romain qui se propose d’organiser notre hébergement à Rome !
11 et 12 juin, nous quittons le canal de Chiana mais, en longeant d’autres canaux d’irrigation, nous continuons sur le sentier della bonifica sur 10 kilomètres, jusqu’au lac de Chuisi ou nous plantons la tente pour 2 nuits : lecture, farniente et lessive.
Lac de Chuisi
DU 13 AU 18 JUIN
13 juin, nous partons de bonne heure car la journée s’annonce encore très chaude. 3 kilomètres après, Véga nous fait un « cake » : mademoiselle refuse de passer une passerelle étroite où il a fallu la débâter ! Elle en a pourtant passé plusieurs depuis les 1700 kilomètres qui nous séparent du départ. Nous la longeons avec la longe longue à l’autre pout de la passerelle, nous nous mettons à lire, elle braie, …… 1 heure après, elle décide de passer en douceur. Quel fichu caractère !.Bivouac près du village de Ponticelli…. Et de la ligne TGV Florence-Rome
LA passerelle ! Le long du canal
14 juin, encore une journée chaude. Après avoir marché sur le plat et sur des chemins depuis plus de 80 kilomètres, nous marchons sur le goudrons une bonne partie de la journée sur une route assez fréquentée. En fin de matinée, nous attaquons les collines qui vont désormais nous amener jusqu’à Rome. Arrivés au village médiéval de Ficulle, nous sommes attirés par le centre historique et nous engageons dans la voie abrupte qui y monte. Mal nous a pris ! nous n’avons pas prêté attention au sol. Celui-ci est composé de dalles extrêmement glissantes sur lesquelles, dès les premiers mètres, Véga s’affaisse. Elle essaie de se remettre sur pieds, impossible à cause des sabots qui glissent et de la charge des bagages. Elle essaie à nouveau et glisse encore. Nous nous empressons de la débâter et, enfin, elle peut se redresser. La visite du centre historique sera pour une autre foi ! Bivouac au milieu de nulle part, avec vue sur un château d’un côté et sur la ville médiévale d’Orvieto sur un autre côté.
Le village de Ficulle La pause de midi, tout le monde dors ! écrase, devrais-je dire !
15 juin, pour éviter le goudron, nous quittons notre trace et empruntons un chemin balisé « Via Romea ». Au début, super, ensuite, le balisage pas évident à trouver nous vaut des détours, un gué que Véga passe après une courte hésitation, et de nous perdre. Nous rebroussons chemin et rejoignons Orvieto par la route goudronnée avec une circulation relativement importante. Nous cherchons un hôtel qui puisse accueillir Véga et portons notre choix sur un 3 étoiles avec un parc. On nous accepte, mais on refuse Véga. Nous trouvons alors un B&B « La casa del Frenz », tenue par Rosa qui se mets en « 4 » pour faciliter notre séjour et « parquer » Véga. Nous nous y installons, douche puis visite de la magnifique cité médiévale d’Orvieto. Au bout du compte, avec nos tours et nos détours, nous avons fait 20 kilomètres dans la matinée au lieu des 13 prévus !
l’Italie d’hier et d’aujourd’hui Orvieto
Est-ce Gepetto avec Pinocchio ? Véga a marche sur le pied droit de JP au départ puis en Suisse. Bobo le pied !
16 juin, encore une journée chaude. Hier soir, comme nous avons pas mal de grandes route sur notre trace pour rejoindre Rome, nous avons fait des recherches sur internet pour dénicher les traces GPX de la « via Romea » qui nous a paru plus moins « goudronneuse ». Après de nombreuses recherches, nous nous apercevons qu’il existe au moins 2 « via Romea ». La via Romea Francigena et la Via Romea Germanica (sa cousine germaine – oui, j’ai osé l’écrire – ). Nous sommes donc repartis ce matin sur une nouvelle trace. Nous ne regrettons pas. Certes, il y a plus de kilomètres pour rejoindre Rome. Certes, il y a plus de dénivelé. Mais nous empruntons soit des petites routes goudronnées ou nous ne croisons pas de voitures, soit des chemins, soit des sentiers. En plus, cette trace nous fait découvrir des villages superbes, dont Lubriano et son pont de vue magnifique, et Civita de Bagnoregio, village perché sur un piton de grès. Par moment, la via Romea est fléchée avec des panneaux aussi imposants que ceux qui signalent l’autoroute ! Par d’autres, il est totalement absent, mais nous avons la trace GPS ! Nous étions entrés en Ombrie depuis le lac de Chuisi, nous l’avons quittée peu après Orvieto pour pénétrer dans la région du Latio dans laquelle se trouve Rome.
Un dernier regard sur Orvieto village fortifié
Autre village fortifié pas besoin de GPS ni de loupe pour suivre le bon chemin
Point de vue à Lubriano Bagnoregio
Sanctuaire creusé dans la roche et fontaine originale
17 juin, encore et toujours des beaux paysages avec de beaux points de vue sur les différentes cités bâties sur des promontoires. Aujourd’hui, 2 faits notables : la « Via Romea » et la « Via Francigena » ne font plus qu’une jusqu’à Rome à partir de Montefiascone, soit une 100 aine de kilomètres avant Rome. Deuxième fait notable, Véga a marché (avec difficulté) sur une ancienne voie romaine à la sortie de Montefiascone sur plusieurs kilomètres. Les dalles étant très glissantes, ce ne fut pas de tout repos pour elle. En faisant nos courses dans un supermarché (à Montéfiascone), une voiture de « Carabinieri » s’arrête à notre hauteur. Ce n’était pas pour nous, mais pour se prendre en photo avec Véga !
Véga en manque d’affection Le lac de Montefiascone
Signalisation claire ! Qui pensait que les ânes dorment debout ?
18 juin, la via Francigena est très fréquentée : en cheminant de notre bivouac à Viterbo, nous rencontrons entre 25 et 30 randonneurs au long court alors que nous n’en avions rencontré moins de 10 les 1800 kilomètres précédents ! Nous avions décidé de bivouaquer peu après Viterbo afin d’équilibrer les kilomètres et de faire une étape « gîte » ou « hôtel » à Vetralla le 19. Les rencontrent en ont décidés autrement : à la sortie de Viterbo, une voiture rouge s’arrête et le conducteur, Carmelo, possède le Centre Equestre Cava di S. Antonio et nous propose le gîte et le couvert pour Véga. Au bout du compte, nous allons rester 2 nuits dans le centre car demain, Carmelo va parer et referrer les sabots de Véga.
Bivouac avec vue superbe A l’horizon, Montéfiascone
La cathédrale de Viterbo Chemin creusé dans la lave
DU 19 AU 26 JUIN
19 juin, journée tourisme : visite de Viterbo et flâneries dans les petites rues et ruelles de la ville historique. Contacts avec Federico et Virginia pour peaufiner notre séjour à Olgiata qui se situe sur la via Francigena et est raccordéé à Rome (le Vatican à 20 kilomètres) par le train. Nous convenons d’arriver le 26 juin chez Virginia.
Viterbo
20 juin, Carmelo ferre les antérieurs de Véga. Ce n’est pas de tout repos car c’est un perfectionniste et il faut presque 1 heure par sabot. Ce n’est pas du gout de notre ânesse qui proteste régulièrement par des ruades. L’une d’elle envoie Patrice au sol. Dans sa chute, il se blesse le talon d’Achille du pied droit. Sur proposition de Carmelo, nous décidons de rester 1 journée de plus au centre équestre afin que Patrice récupère.
Carmelo nous fait une démonstration de son travail avec les chevaux
21 juin, ferrage des postérieurs. Cela se passe sans sédatif comme en Suisse, mais par contre, c’est du « sport » ! Néanmoins, en 2 heures, c’est bouclé. Le soir, repas d’adieu sympathique avec Carmelo, Erico et Sébastiano.
22 juin, nous reprenons la route qui, comme avant d’arriver au centre équestre est, sur de grandes longueurs, taillée dans la roche volcanique, ce qui donne une route ombragée et encaissée comme dans un canyon. Arrêt à Vetralla car le pied de Patrice le fait souffrir.
23 juin, journée agréable nous cheminons pour moitié sur des chemins forestiers, pour l’autre, dans des vergers. Après avoir traversé des 100 aines d’hectares de vergers plantés de cerises, pêches, poires dans les autres régions que nous avons traversées, c’est au tour des vergers plantés de noisetiers. Est-ce pour fournir la matière première pour le Nutella ?
Vergers de noisettiers Véga débordante d’affection pendant la sieste de Patrice
A un moment, dans un chemin bordé de noisetiers, nous sommes arrêtés par une barrière. Un passage pour piéton est prévu – via Francigena oblige – mais impossible d’y faire passer Véga. Nous sommes contraints de rebrousser chemin et de faire un détour par une route pour retrouver notre trace plus loin.
Damned, on ne passe pas ! autre balisage de la Francigena
Depuis plusieurs 100aines de kilomètres, nous empruntons des chemins de terre que l’on pourrait comparer à nos routes vicinales ou cantonales. Elles sont un peu fréquentées. Nous croisons régulièrement des voitures. Certaines roulent au pas pour nous éviter la poussière soulevée par les roues, d’autre non. Nous avons trouvé la solution pour ces chauffeurs si peu civiques. Nous faisons marcher Véga en plein milieu du chemin si bien qu’ils sont obligés de ralentir, voir de s’arrêter, ce qui nous évite de respirer les nuages de poussières.
24 juin, la journée commence mal. Hier, nous avons eu le choix de prendre soit l’itinéraire cycliste, soit l’itinéraire pédestre. Plus long, mais avec moins de routes goudronnées. Nous avions opté pour le pédestre. Après é kilomètres, les difficultés de sont accumulées : gros tronc d’arbre en travers du chemin : Véga est maintenant une bonne randonneuse, sans hésitation, elle le franchi en sautant. Plus loin, des pentes rocheuses à couper le souffle : pas de problème, après quelques hésitations, Véga suit Jean-Pierre. Un autre arbre en travers du chemin, mais à plus de 80 centimètres du sol : heureusement, il n’est pas gros. Nous le coupons à la machette. Plus loin encore, un gué. Comme Véga hésite, Jean-Pierre décide de voir plus loin s’il y a d’autres difficultés. Il s’arrête au bout de 7 à 800 mètres sur 3 gros troncs d’arbre qui barrent le chemin. Impossible pour Véga de sauter cet obstacle, et pas de possibilité de contournement. Nous sommes obligés de rebrousser chemin et de prendre la voie cycliste. 2 heures de perdues et presque 6 kilomètres pour rien. Le reste de la journée se passe bien. Petit arrêt à Sutri qui possède les restes d’un amphithéâtre romain entièrement taillé dans la roche volcanique. Bivouac le soir au bord d’une rivière, au niveau des cascades de Monte Gelati, une 10aine de kilomètres avant Campagnano di Roma.
Sutri
Cascades et pont à Monte Gelati
25 juin, avant dernière journée sans problème, nous traversons les petites villes de Campagnano di Roma, Formello, et nous montons notre bivouac à une dizaine de kilomètres de La Storta ou nous devons nous arrêter chez Virginia.
Campagnano di Roma
26 juin, contrairement à ce que nous pensions, notre trace nous réserve encore des surprises. Nous qui pensions, si près de Rome, cheminer en milieu urbain, nous marchons sur un sentier imprégné de l’histoire des Etrusques, puis, dans une partie sauvage et encaissée avant, effectivement, d’aborder la banlieue de Rome.
Patou et tombe Etrusque
Nous arrivons chez Virginia à La Storka. Ensuite, pour rejoindre Rome, à 20 kilomètres, ce sera avec le train et sans Véga
Cette étape marque la fin de l’aller. Au bout du compte, nous aurons fait moisson de rencontres chaleureuses et avons marché dans des paysages magnifiques. Tout au long de ces 1900 kilomètres dont 1800 pédestres et 100 pour traverser le tunnel du Gothard grâce à Peter, Véga sera devenue une amie fidèle, elle nous aura ouvert bien des portes, elle se sera montrée patiente face aux milliers de photos pour lesquelles elle a posé, et, enfin, sera devenue une randonneuse hors pair que plus rien de rebute.
Un immense merci à vous tous qui nous avez apporté votre soutien, par un sourire, un mot d’encouragement, un commentaire sur le blog, …. Notre route, du départ à notre arrivée aura été jalonnée de rencontres avec des personnes qui auront donné sans compter pour nous héberger, nous tirer d’un mauvais pas, nous apporter un réconfort humain. Nous ne pouvons tous vous citer, mais vous êtes bien présents dans nos cœurs ; cependant, nous voudrions remercier particulièrement ici Cornélia et Peter, sans lesquels notre voyage, vu l’enneigement des cols en Suisse, était fortement compromis.
Patrice va partir de son côté marcher en Sardaigne, les blog va continuer à partir du 3 juillet aves Véga, Jean-Pierre et Martine qui nous rejoint.
Je suis sûr que les câlins de Véga vont manquer à Patrice
Côté chiffres, nous avons marché 1800 kilomètres, monté 20 kilomètres, en 3 mois, y compris les jours d’arrêt, ….. et dormi moins de 10 nuits dans un lit pendant ces 3 mois.
Pour ceux qui ne connaissent pas, quelques photos de Rome
Vielle porte la basilique St Giovanni
Les thermes de Caracalla
Thermes de Caracalla Camping car original
ballade dans la Rome antique Aqueduc et au fond à gauche le Colisée
Le forum Monument à Vittorio Emanuele II
La fontaine de Trevis Le Colisée
L’intérieur du Colisée
L’arc de triomphe de Constantin Place Del Popolo plac
Le chateau Sant’Angelo Vue sur le Vatican
Saint Pierre
Jean-Pierre n’a pas la taille requise pour rentrer chez les gardes Suisse
Lesquelles ont 1800 kilomètres ?
29 Réponses à “4 – Italie de Florence à Rome”
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dis donc il vous manque de la crème solaire^^
t inquiète pas ninis ils sont déjà cuits du dessus comme des gâteux (pardon des gâteaux ) de Savoie
Attendons de voir les muscles …
gros bisous
Martine, j’aime trop les gâteux! oups pardon les gâteaux, je prends autant de plaisir aux commentaires qu’aux nouvelles de nos randonneurs!
Messieurs les végaromains, tout ce petit monde a l’air en forme, et c’est bien! et les postérieurs de Véga, ça donne quoi?
en tout cas, bravo et merci pour ce merveilleux voyage
Sandrine tout est rentré dans l’ordre. Seul problème avec Véga en ce moment 2 plaies sur le dos à cause du bât, mais en guérison avec la pommade pic
L’Italie à vraiment l’air magnifique !

J’espère que tu pourras nous caler quelques phrases en italien papou en rentrant
Garde un peu de graisse pour qu’on puisse te reconnaître
(Ou envoies en moi par la poste pour que j’en mette dans mon petit corps tout frêle haha)
Ta fille qui t’aime <3 NEUUUUUHHHH !!
Bravo les randonneurs que de chemins parcourus depuis que vous êtes en Italie que du beau temps votre périple est vraiment sympa à voir on vous voient fondre à vue d oeil .ne vous inquiétez pas vous reprendrez du poids en rentrant .par contre je ne suis pas fan du bronzage CYCLISTE bon courage à vous 3 Amities
Bravo les randonneurs !
Je viens de regarder tout le périple avec mes petites-filles (celles qui ont été prises en photos au Mesnil dans le jardin avec Véga)
Elles espèrent que ça s’est bien passé avec VEGA et que vous êtes contents d’arriver au bout !
D’autre part, on était le WE dernier avec notre fils et ses enfants dans les jardins de l’Abbaye de Maubuisson et on y a rencontré l’ânier et son épouse , ceux qui ont amené Vega au Mesnil et ils nous ont reconnus aussi ! Le monde est petit !
Bonne suite de parcours jusqu’à Rome, vous touchez au but ! et bon courage à Martine pour le retour !
Les Mesnilois
Jean Pierre ! un homme musclé on veut voir !
le but approche doucement et Martine voit aussi son départ approcher !
bisous et bonne continuation
Patrice et JP sont des anciens spéléos
faudrait pas qu ils confondent tablettes de chocolat et » concrétions » voire stalactites, de graisse.
j attends la vidéo 250 pompes chacun : sur un bras et un pied replié sur la fesse
le sourire et tutti quanti
bisous à tous
Salut les 3 VégaRoma ,
« Chouette » la prise de vue de la sieste avec Véga . J’espère que son dos va mieux ( il faudra qu’on parle de la pommade pic? ) . Vue les détails anatomiques , je pense que , malgré l’age , aucune » chatières » ne pourra vous résister .
Bravo et à dans quelques jours
Le Maroc nous attend …
XXX Bisous
Merci pour vos commentaires Nathalie et Bernard, et bon séjour au Maroc. Je ne sais si c’est la marche, mais mon dos et mes genoux se font complètement oublier !
on ne voit que Patrice conduire Véga
rassurez moi JP ne ferait pas le voyage en taxi par hasard ?
bisous Rome est proche
bonne fête c’est la saint Jean
feu de joie et chianti à volonté
gros bisous
Vous voilà arrivés au bout de la première partie du voyage… que de chemin parcouru. Bravo à tous les 3 ! merci de nous avoir permis de partager votre aventure et forcément une grande caresse à Véga!
super et bravo
je n’ai jamais douté que vous iriez au bout même s’il avait fallu terminer sur un pied un peu comme Patrice
ça va changer JP tu vas avoir ton boulet à trainer
ne parle pas du confort
je ne dors plus je profite de mon matelas !!!!!!!!!!!
bisous
Martine, je ne suis pas en traxi mais pour les photos je suis comme De Gaulle à Yalta
Bonjour Spelaion
A mon avis pas possible car Véga ne sait pas encore nager en plus elle a horreur des marches et enfin je crois que je vais avoir du mal à lui trouver un casque adapté à ses oreilles
Au retour, on emmène Véga à Padirac ?
bonjour du Mesnil sur Oger! Bravo à vs pour votre courage et persévérance! c’est super courageux votre voyage!
bien amicalement!
Ça a du être un moment plein de nostalgie que d’écrire la fin du dernier article ! Suis tellement fière de vous, Patrice et Papou !! Vous êtes vraiment des hommes forts ! Les gens n’en reviennent toujours pas quand je leur dis que vous êtes arrivés à Rome !

)
Profitez bien de cette fin de semaine à Rome !
J’espère que le retour avec maman se passera comme l’aller ! Comme dans l’agence tout risques « j’aime qu’un plan se déroule sans accroc »
Je t’aime papou <3
Neuh !!! (Résultats de mon bts lundi à 16h, je vous enverrai un petit message
Le début de la seconde aventure va bientôt commencer! Félicitations et bonnes vacances!!!! Profites de ma nourriture avec la diet à venir
Bisous
Wow! Bravo les randonneurs,quel courage. Cela a du etre une experience formidable. Qu’est ce qu’on ne ferai pas pour une pizza !
Bravo pour ce périple et pour les belles photos. Encore bravo à vous deux les humains et super bravo à Véga.
Une bénédiction papale lui aurait certainement fait du bien aux sabots ?
Bon retour avec Martine.
Martine, vous étes ressortis sains et saufs du fameux restaurant ? T’aimes les risques…. Toujours aussi accueilante la patronne….? je sais bien qu’il faut que ru prennes des forces pour le retour… mais quand même. Allez, un sourire, retour à la maison…. bisous, bisous à tous les trois…
Félicitations !!
un exploit et que de rencontres !
merci de nous avoir associé par vos articles
bon courage Martine ! Jean Pierre semble avoir le rythme maintenant
bisous à vous deux et ….bonne ballade
Je ne vous dis pas bravo pour être arrivés à Rome car j’ai cru comprendre que vous étiez d’un naturel sportif mais BRAVO pour y être arrivés somme toute facilement en découvrant la randonnée asine- si différente du pur pédestre- BRAVO pour avoir mené Véga au bout en la respectant.
Et bon retour après avoir repris quelques forces!
Daniel
Bravo pour ce bel exploit !
Je vais remettre un article dans le journal paroissial Chez Nous Sèves Nouvelles
pour dire que vous êtes bien arrivés et que Martine va faire le retour
Est ce qu’on aura la joie de vous suivre aussi pour le retour ?
Bon courage à Martine pour la remontée , et aussi à Patrice pour la suite
Est ce que vous repasserez par Le Mesnil sur Oger ?
Bien amicalement
Francis et Babette
Merci pour votre commentaire. Oui nous allons continuer le blog avec Martine pour le retour. Après avoir pris 1 semaine de repos, j’ai eu la joie de voir mes filles à Rome qui ont accompagné Martine. Nous avons quitté Rome le 3 juillet et avons déjà fait 80 km
Nous sommes enfin à la Maison ….. très bon séjour Marocain , mais je reviens cassé …. Grand Merci aux 3 VEGAROMA pour le vécu que vous nous avez fait partager pendant ce périple .
Nous vous embrassons tous Jean-Pierre , Patrice et Véga . Maintenant, Martine, Bisous pour le retour que nous allons suivre .
à bientot
BERDNATH