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3 – Italie de Come à Florence
Après nos péripéties Suisses nous avons été obligés de revoir complètement notre chemin Italien vers Rome.
DU 7 AU 13 MAI
7 mai, nous partons de notre dernière étape Suisse sous les regards admiratifs des admirateurs de Véga. Elle se rappellera certainement cette dernière étape Suisse vu le nombre de carottes qui lui ont été offertes !
Encore des fans ! Devant l’auberge de jeunesse de Como
Le passage à la douane fut digne de celui d’une star du show bizz vu le nombre incalculable de photos qui ont été prises de Véga.
Arrivés au bord du lac de Come, nous trouvons une auberge de jeunesse ou l’accueil fut encore une foi très chaleureux.
8 mai, traversée de Come. Un conseil, si vous voulez voyager incognito, n’emportez pas d’âne avec vous !
Le lac de Come
Dès que Véga arrive, un attroupement se forme ! Vue du lac d’Alsério
Chemin dans l’ensemble très agréable qui se termine sous un soleil magnifique et un bivouac somptueux sur les rives du lac d’Alsério.
Un bivouac somptueux
9 mai, départ sous le soleil en continuant la rive du lac d’Asério. Le chemin se détériore rapidement car nous devons traverser des zones urbaines. Notons au passage que Véga pour prendre un passage souterrain (chemin de fer) a descendu et remonté des escaliers. La journée, malgré le beau temps n’est pas très agréable car nous cheminons fréquemment le long d’axes routiers importants. Point positif, Jean Pierre trouve un magasin de sport de montagne et peut ainsi acheter une nouvelle veste Goretex en remplacement de celle dont la membrane est devenue poreuse. Le soir, à la recherche d’un lieu de bivouac, nous nous retrouvons Véga avec de l’herbe grasse, et nous sous un garage couvert.
DESOLES, NOUS N’AVONS PAS OSE PRENDRE LES CAMIONS ET LES VOITURES EN PHOTO
De la publicité pour le transport d’âne ?
10 mai, départ sous un temps maussade mais sans pluie. Arrêt course qui n’est pas passé inaperçu sur un marché de village. Achat d’une super cafetière Italienne, laissée pour 10 euros grâce à Véga. En début d’après midi, notre trace nous conduit à un bac dont les passeurs nous refusent le passage à cause des sabots ferrés de Véga. Point positif de cette déconvenue, nous sortons l’ordinateur et faisons une nouvelle trace qui s’avère très agréable et surtout loin de toute circulation. Petit restaurant et bouteille de champagne donnée au départ par monsieur et madame BERTIN pour fêter nos premiers 1000 kilomètres.
Arrivéé au pont sur l’Adda La création d’une nouvelle trace s’impose
Paysage charmant, nous regrettons pas d’avoir changé notre itinéraire
11 mai, nous continuons à suivre le canal de l’Adda, loin des voitures et sous un ciel couvert, mais sans la pluie. En fin d’après midi, nous cheminons pendant quelques kilomètres sur une route nationale, et lorsque nous devons récupérer le chemin devant nous ramener vers l’Adda, ce dernier est fermé par une barrière cadenassée. Même en débâtant Véga, cette dernière ne peux passer. Nous cherchons une dérivation sur le GPS lorsqu’une voiture de carabiniéri s’arrête. Photos de Véga, félicitations pour notre périple, puis les 2 carabiniers nous indiquent un accès à notre trace qui nous oblige à reprendre la route nationale sur 1 kilomètre.
Arrivés à l’accès de la trace, nous retrouvons nos 2 carabiniers qui nous attendent avec un grand sac de pain pour Véga.
En suivant le canal de l’Adda
12 mai, nous continuons à suivre l’Adda jusqu’à une capture qui alimente un canal d’irrigation, le canal Vaccheli qui fait la richesse de cette région Lombarde. Bivouac près de la charmante ville de Crema. Petit message à Daniel, Peter et Cornélia, Sandrine et Patrick, la blessure au sabot antérieur droit de Véga a bien cicatrisée. Nous avons arrêté aujourd’hui les soins du matin et le bandage car elle n’en a visiblement plus besoin. Par contre, depuis qu’elle s’est fait parer et referrer, Vega refuse de nous donner les 2 sabots arrière !
Nous longeons le canal Vaccheli Véga et Lucilia, une des nombreuses membre de son fan club !
13 mai, nous faisons des courses et prenons notre temps pour visiter Crema puis continuons notre route en longeant toujours le canal Vaccheli sous un beau soleil bleu.
Nous longeons toujours le canal Vaccheli
DU 14 AU 19 MAI
14 mai, nous longeons toujours les canaux d’irrigation sous un ciel bleu. Nous faisons notre halte du midi près d’un site très prisé des Italiens : peintres, cyclistes, randonneurs, dans un endroit boisé où se croisent plusieurs canaux d’irrigation. Bivouac du soir dans un bois, en vue du bourg de Casalbuttano.
Joli coin pour la pause du midi
15 mai, journée agréable en empruntant un chemin boisé longeant toujours des canaux d’irrigation et arrivée au camping de Crémona de bonne heure mais, grosse déception. Pas de douche, pas de lessive, pas le temps de visiter la ville de Stradivarius et de Montéverdi…. Car le camping est fermé et il nous faut trouver un lieu de bivouac.
Oh quelle ferme ! Le chemin est fréquemment jalonné de petits offertoires
16 mai, la journée commence par la traversée du Po. Un exploit pour Véga qui a emprunté une passerelle métallique accolée au pont qui enjambe le Po, et qui mesure….. 247 mètres ! Le reste de la journée ensoleillée nous amène à Zibello où nous jetons notre dévolu sur une auberge : dodo dans un lit après une bonne douche et un bon repas très copieux par rapport à notre ordinaire. Quant à Véga, elle a trouvé refuge dans une ferme, à 500 mètres de l’hôtel, chez la cousine de la patronne.
THE passerelle ! Paysage de la plaine du Po
17 mai, nous continuons à déambuler dans la plaine du Po sous un ciel bleu et un soleil radieux. Dans les rencontres improbables, en faisant nos courses à Roccabianca, nous sommes abordés par une femme parlant un Français sans accent qui nous propose de l’eau pour Véga. En faite, elle est née à Colmar et a épousé il y a 40 ans un Italien. Nous apprenons par elle que la plaine du Po n’est pas très agréable à vivre car très souvent dans le brouillard. Nous terminons notre étape près d’un affluent du Po, le Fiume Taro. Demain nous serons à Parme qui est à environ 20 kilomètres.
Le charmant village de Roccabianca
18 mai, nous arrivons à Parme en début d’après midi. Après midi que nous passons pour rien en cherchant désespérément à rejoindre le Décathlon de Parme pour acheter une badine et des fourreaux de protection pour l’avaloir. Victimes des horaires des cars, nous rentrons bredouille à l’auberge de jeunesse en fin de journée. Depuis 3 jours, nous apercevions des montagnes à l’horizon. Aujourd’hui, la vision s’est précisée, et nous distinguons des détails sur la chaine des Apennins. Prochaine ville importante à atteindre, Modène qui se trouve à environ 80 kilomètres.
Habitat de la plaine du Po La rivière Taro
19 mai, nous traversons la Parme historique qui est très agréable et mériterait plus de temps. A propos de temps, le ciel est couvert. Nous faisons notre halte de midi à Coloreto, après avoir dépassé les faubourgs de Parme. Nous sommes abordés par Florinda qui nous demande dans un Français parfait si nous avons besoin d’eau. Nous acceptons de l’eau pour Véga, et en prime, elle nous donne 2 bouteilles d’eau gazeuse, puis, vient nous apporter le café dans le champ ou nous avons collationné. Le Français de Floirinda s’explique du fait que son papa est parti travailler dans les mines en Belgique et qu’elle y a passé toute sa jeunesse. Son frère vit du reste toujours en Belgique. Nous prenons quelques gouttes de pluie d’orage puis le temps se remlet au beau fixe dans l’après midi. Bivouac une 20 aine de kilomètres avant Reggio Emilia avec vue sur les Apennins.
Parme
DU 20 AU 27 MAI
20 mai, rien de spécial aujourd’hui. Nous bivouaquons après Reggio Emilia. Ville assez importante longue à traverser : l’agglomération fait 10 kilomètres. Pas de monument significatif, par contre, la ville a dû avoir un passé assez glorieux car la longue et large avenue principale est bordée de belles demeures avec parc, mais qui, pour beaucoup, mériteraient des restaurations. La ville doit servir d’étape à un rallye de voitures de sport de luxe : en sortant de la ville, nous croisons des Ferrari de toute sorte, des grosses Mercédès de sport, des Mustang, des Porche, bref, que des grosses cylindrées, avec quelques conducteurs qui se prenaient pour Frangio. Le bivouac que nous trouvons en coincé entre une autoroute et une voie de chemin de fer très fréquentée !
Images typiques de l’Italie en mai
21 et 22 mai, nous nous rendons à Modène par un chemin de terre très agréable. A Rubiera, nous faisons des courses pour le midi et nous attablons à un bar exceptionnellement ouvert (c’est dimanche). Nous y rencontrons Gislaine, Française installée en Italie, qui nous offre une bière. Nous arrivons vers les 16h30 / 17 heures au camping International qui est situé au tout début de la ville. Nous y sommes une foi de plus très bien accueillis : tarif doux, capuccino servi sur un plateau le 22 au matin. Par contre, la nuit a été « bruyante » car nous n’avons pas prêté attention à l’environnement de l’endroit où nous avons planté la tente : la gare de péage de l’autoroute, entrée nord de Modène. Toute la matinée du 22 est occupée à traverser Modène, dont le centre historique mériterait plus de temps. L ‘après midi, nous perdons au moins 1 heure ½ et 4 kilomètres pour éviter 100 mètres de route extrêmement dangereuse qu’il faudrait emprunter pour continuer notre trace. Nous n’y arriverons pas et prenons un autre itinéraire. Bivouac près de San Vito. Le fermier propriétaire du champ ou nous sommes installés est venu nous apporter des cerises (excellentes).
Bling bling Chacun ses valeurs
Modène où Véga attire toujours autant Ils m’auront fait vraiment passer partout !
23 mai, avant de partir au travail, les fermiers nous apportent de l’eau, du pain, et délicatesse oblige, un dizenier. Journée ensoleillée et agréable lors de laquelle nous suivons par chemin de terre la rivière Panaro. Passage à Spilamberto petite ville avec un centre historique, et vue sur la belle forteresse de Vignola avant de poser notre bivouac sur le bord du Panaro, près du village de Marano sur Panaro.
Naturellement, nous avons toruné à droite La forteresse de Vignola (on y fabrique du balsamique)
24 mai, nous partons tardivement car nous profitons d’une laisse d’eau du Panaro pour repérer et réparer les fuites de 2 de nos matelas pneumatique. Nous continuons à longer le Panaro puis, au niveau du village de Casona, nous le quittons pour nous enfoncer dans les Apennins. Le paysage est sublime, et nous traversons des villages typiques bâtis au 13ème siècle. La journée a été très ensoleillée et nous avons tous les 3 soufferts de la chaleur. Bivouac le soir à l’entrée du village de Montalbano ou nous servons d’attraction aux enfants et …. aux moins jeunes.
Nous entrons dans les Apennins
25 mai, levé à 6 heures au lieu de 7 pour éviter de marcher sous le soleil de midi. Nous nous arrêtons à Zocca pour faire des courses. Arrivée au niveau du café qui jouxte le supermarché, Véga nous fait un beau crottin bien liquide. Patrice va demander de l’eau au café pour nettoyer et s’y reprend à 3 fois pour venir à bout des immondices. Il part ensuite faire les courses et lorsqu’il revient, la polica locale est sur place, appelée par un mauvais coucheur qui a prétendu que les Français n’avaient pas nettoyé le crottin de leur âne. Heureusement pour nous, la serveuse du café a témoignée que nous avions bien nettoyé, autrement nous étions bons pour une amende. Le reste de la journée se passe sur une petite route agréable qui nous amène à Vergato.
Nous cheminons dans un cadre agréable
26 mai, départ matinal par beau temps. De Vergato, nous suivons la vallée de la rivière Reno, lorsque, au détour d’une bifurcation, nous sommes arrêtés par un automobiliste qui nous fait comprendre qu’il faut faire demi-tour car la route est coupée suite à un glissement de terrain. Après (mures) réflexions, nous décidons de poursuivre sur notre trace, car autrement, le détour nous ajoute plus de 10 kilomètres. Bien nous a pris, car la route a effectivement été emportée sur plus d’une 100aine de mètres, mais, après reconnaissance du terrain, Véga s’est une fois de plus adaptée et nous permet de suivre notre trace. Nous remontons ensuite la vallée du Limentra di Treppio, affluent du Reno, jusqu’au lac de Suviana au bord duquel nous installons notre bivouac sur un terrain de camping.
La route a été emportée sue plus de 100 mètres,………je passe malgré tout sans aucune hésitation
Bling bling surprenant !
27 mai, la dernière journée de repos datant du 30 avril, nous avons pensé qu’il était grand temps d’y remédier.
repos certes, mais pas entièrement !
DU 28 MAI AU 3 JUIN
28 mai, nous suivons toute la journée de belles vallées très encaissées au fond desquelles coulent de beaux torrents. Nous montons jusqu’à 900 mètres pour arriver en fin de journée à un point de vue qui nous permet de contempler la plaine de toscane et de voir Florence qui est à moins de 50 kilomètres. Bivouac à 2 ou 3 kilomètres de la fin des Apennins et du début de la plaine.
Le lac de Suviana Nous apercevons la plaine de Toscane
29 mai, nous descendons des Apennins et commençons à arpenter la plaine Toscane. Arrivés à Montale, nous nous arrêtons faire le plein d’essence (1 litre pour le réchaud) et y rencontrons Rosy à qui nous demandons si elle connait les coordonnées d’un maréchal ferrant (Rosy parle mieux le Français que nous l’Italien) ou d’un centre équestre. Bingo. Elle fait de l’équitation et nous amène au centre équestre de La Querce. Re bingo, Jessica, appelée par Rosy nous y attend. Accueil plus que chaleureux. Jessica nous trouve un maréchal, Lorenzo et une traductrice, Paola. Durant notre bref séjour au centre, Véga a reçu sa première douche, a été re-ferrée des antérieurs par Lorenzo (il était temps, le fer avant gauche s’est cassé en deux au moment du dé-ferrage. Nous repartons avec un carnet d’adresse pour Rome et la suite, et plein de provisions de foin et aliments pour Véga. Le soir, comme nous entrons dans l’agglomération de Florence, et sur l’invitation des gardiens du cimetière du Prato, nous dormons dans la parking à vélos du cimetière. Nuit blanche : nous sommes à 100 mètres d’une bretelle d’accès à l’autoroute.
Nous arrivons sur la plaine Pendant que nous faisons le plein, Rosy fait plein de caresses à Véga
Douche et ferrage des antérieurs
Le bivouac improbable
30 mai, grande première, d épart à 6h30, le cimetière ouvrant ses portes à 7 heures. Nous visons le camping Michelangélo à Florence et y arrivons vers 17 heures après avoir longé tout l’après midi les rives de l’Arno. DECEPTION. Il est fermé pour travaux. Une affiche nous laisse entrevoir la possibilité d’aller au camping Firense et nous nous y dirigeons. Nous nous faisons naturellement remarquer par la nombreuse foule en passant avec Véga sur la place du palais Piti et près du pont Vecchio.
Deuxième grande première, nous avons fait 40 kilomètres lorsque nous arrivons au terrain de camping .
Lorsque nous passons devant une école, le moment est toujours magique. L’Arno à Florence
31 mai au 3 juin, visite de Florence. Quelle merveille ! Nous en avons profité pour faire le plein de gelati !
La cathédrale et le pont Vecchio
Donatello mais aussi à voir que de merveilles de Lippi, Pittire, Perugino, Boccaccino, Botticelli et tant d’autres artistes !
21 Réponses à “3 – Italie de Come à Florence”
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Comme quoi l’imprévu a du bon!!
Merveilleux , ça vaut le coup d’en baver . Véga doit apprécier comme vous, les 2 Roma , un peu de soleil et des chemins moins hostiles aux pattes des 3 Véga Roma . Au fait , Jean-Pierre tu n’avais peut-étre pas besoin de changer de veste ; il me semble bien qu’il ne pleut plus …..( j’dirai rien à Martine..)
grillée Nathalie j ‘ai lu ton message
tu as raison il gaspille l’argent du ménage que je peine à gagner: l’esclavage n’a pas disparu
bisous à tous
et pourquoi cet ordinateur n ‘envoie pas mes messages
damned je vais le massacrer à la tronçonneuse meurtre chemin des griblets
aie c ‘est passé j attends la gendarmerie
il est dit » message en attente de modération »
je modère
Enfin du soleil dudu en short la belle vie quoi,je suis sortie hier soir à la cigale Paris ou un groupe reprenait tous les succès de Dire Stait et bien entendu BROTHERS IN ARMS que de souvenirs de nos années discotheque me sont revenus à la mémoire. J espère que vous faites un bon usage de ton petit dico franco italien. Votre périple semble moins pénible maintenant bonne continuation Amitie
presque un air de vacances en ce moment! on pense toujours à vous trois et une grosse très grosse caresse à Véga
Bonjour Jean Pierre,
comment se passe ce voyage, a voir les photos, bien !
un petit coucou du diocèse.
bonne marche avec Véga et à bientôt
amicalement
sandrine
vous en faites des détours à cause des clôtures!!!!!!!!!!!!!
ne vous découragez pas La Bruyère a dit
« ce qui barre la route fait faire du chemin »
méditez cela
bisous
Salut les 3 VegaRoma ,
Votre périple semble permettre de relier l’histoire est l’immigration . Nathalie me fait remarquer que les Italiens ont marqués son pays , CARMAUX , dans les mines de charbons ou ils ont peinés avec son Pére immigré Républicain Espagnol . Le Pére de Floirinda a du connaitre les mémes contraintes . Vos très belles photos touchent également Nathalie qui a gardé des attaches dans les secteurs que vous avez traversé . Elle est devenue incollable sur le « parmigiano » la « mozarella » et le » balsamiquo » . Elle est a l’origine du jumelage de Barbezieux avec Vignola dont vous nous avez montré une photo du chateau .Merci pour cette vibration qui est venue jusqu’à nous , perturbée par la proximité de l’usine des véhicules du » Commendatore » Enzo FERRARI . Bonne Féte Martine …..
Sur votre dernière photo je vois que la mère DENIS est passée par votre camping les italiens ne pourrons plus dire que les français ne se l’avent pas.une petite journée de repos ça fait du bien aux pattes Vega doit être aux anges,bonne visite de Florence et à bientot
un bonjour des Mesnilois de la grotte du Mesnil! Suivons votre parcours, vous êtes bien courageux! Bonne route, cela vient bon je pense! Une caresse à Véga qui a elle aussi bcp de mérite! Bien amicalement! La Champagne!
Bonjour aux marcheurs
Je suis impressionné par tout ce que je viens de découvrir. Je suis allé en Italie en voiture, en car, en avion, en bateau, mais ni à pied, ni à 2 roues, et encore moins avec un gros quadrupède ! A la lecture de ce blog, je mesure les chances et les risques d’avoir choisi Véga ! Merci pour ce carnet de route.
Coucou, quel périple ! c’est l’éloge de la patience et de la persévérance…je suis vraiment épatée par votre aventure.
Bon vent à vous.
bises
Sylvie
Bonjour à la famille, content de voir que vous suivez nos aventures ! bises à vous tous, JP
bravo à vous pour votre courage pour cette si longue étape! Rome va bientôt vous ouvrir ses bras! nous pensons bien à vous et vous suivons par la pensée et nous vous admirons! amicalement ! Marcelle & Bernard du Mesnil! au fait vous avez fait la une du journal paroissial! Bravo! des caresses à Véga!
Martine me dit : » écris à JP, alors, j’ecris « . En fait, mon mot a disparu. Je disais que’j'étais jalouse ! Je vous ai ratés il y a 15 jours, j’étais à Florence, j’espérais bien vous voir. Et rien !J’avais beau scruter l’horizon, pas de Véga, pas de jp, pas de… personne ! Je suis repartie… Allez, on continue… J’attends que Martine vous rejoigne maintenant, elle vient de me dire que ça va décoiffer ! Finies les vacances pour vous, les choses sérieuses vont commencer!!!
Faut goûter les glaces stracciatella papou!!!
Ninis !!! ton papou a perdu 8 kgs ne lui donne pas de mauvaises idées
le Mesnil oger /Rome c’est mieux que « comme j’aime »
avis aux amateurs
bisous les maigrichons
Salut les VegaRoma,
Je voies que Vèga se remet des durs moments passés et que ses suiveurs font des insomnies qui n’ont rien à voir avec le parking à vélos du cimetière ; bien , on enchaine …Nous pensons beaucoup à Véga ; dans 15 jours nous serons à Marrakech comme tous les ans et ce n’est pas le coin idéale pour qu’elle décompense .
J’ai honte d’étre là , je sais ce que vous étes capable de faire , que dire de plus …. Je vous embrasse ainsi que Nathalie .
Merci les Gars pour ce que vous nous offrez